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Un gang de “vegans” exploite un restaurant illégal à Dijon
Le restaurant “La carotterie” est d'un genre peu commun en France. Tout d'abord, il s'agit d'un établissement qui ne propose que de la nourriture issue du végétal.
Pas de viande ou d'oeuf puisque les plats servis ne contiennent que des céréales, des légumes et des fruits. Déjà, c'est surprenant, car on sait que les animaux sont fait pour être mangés, on appelle même cela la chaîne alimentaire à l'école.
Mais, ce restaurant propose aussi un tarif intéressant. Et pour cause, quand on vient manger, on paie ce que l'on veut !
Un modèle d'affaires pas vraiment étonnant quand on sait que cette cantine est tenue par des squatteurs. Une exception dijonnaise qui ne plait pourtant pas au propriétaire réel de l'établissement qui n'a simplement plus le droit d'exploiter ses propres locaux ! Il s'est donc fait carotte...
Mais il y a des règles à respecter, en matière de logement, comme de cuisine. Ces règles concernent l'hygiène mais aussi la traçabilité des aliments ainsi que le droit de propriété.
Afin de récupérer son bien, le propriétaire a saisi la justice qui donnera son verdict le 15 septembre 2017.
Alors, les “vegans squatteurs” pourront-ils continuer à nous servir leur soupe ?
Pas de viande ou d'oeuf puisque les plats servis ne contiennent que des céréales, des légumes et des fruits. Déjà, c'est surprenant, car on sait que les animaux sont fait pour être mangés, on appelle même cela la chaîne alimentaire à l'école.
Mais, ce restaurant propose aussi un tarif intéressant. Et pour cause, quand on vient manger, on paie ce que l'on veut !
Un modèle d'affaires pas vraiment étonnant quand on sait que cette cantine est tenue par des squatteurs. Une exception dijonnaise qui ne plait pourtant pas au propriétaire réel de l'établissement qui n'a simplement plus le droit d'exploiter ses propres locaux ! Il s'est donc fait carotte...
Mais il y a des règles à respecter, en matière de logement, comme de cuisine. Ces règles concernent l'hygiène mais aussi la traçabilité des aliments ainsi que le droit de propriété.
Afin de récupérer son bien, le propriétaire a saisi la justice qui donnera son verdict le 15 septembre 2017.
Alors, les “vegans squatteurs” pourront-ils continuer à nous servir leur soupe ?
Publié le jeudi 14 septembre 2017 à 07h42