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Besançon bientôt sous vidéo-surveillance?
Besançon était jusqu'à présent l'une des seules villes de Franche-Comté à ne pas être équipée d'un dispositif de vidéo-surveillance. Un retard qui devrait bientôt être comblé...
Le premier établissement bisontin à bénéficier de caméras de surveillance sera l'école maternelle Champagne de Planoise. Celle-ci avait été la cible d'un incendie criminel en octobre 2009, ce qui a motivé cette décision.
Une étude sur le recours à la vidéo-protection à Besançon a par ailleurs été lancée par Jean-Louis Fousseret.
Parallèlement, le conseiller municipal UMP Michel Omouri réclame l'installation de caméras dans les "zones à risques" de la capitale comtoise, et notamment Planoise, Battant, et certains secteurs du centre ville. Il a rappelé que "Dans les villes ayant installé la vidéo protection, on note une baisse significative de la petite délinquance qui exaspère la population et les commerçants".
Il estime que la vidéo-surveillance est un "équipement de dissuasion et de protection des biens publics", et espère "trouver une solution pérenne et efficace pour les habitants des quartiers populaires comme pour ceux du centre ville qui sont favorables à ce système".
R. Hingray
Le premier établissement bisontin à bénéficier de caméras de surveillance sera l'école maternelle Champagne de Planoise. Celle-ci avait été la cible d'un incendie criminel en octobre 2009, ce qui a motivé cette décision.
Une étude sur le recours à la vidéo-protection à Besançon a par ailleurs été lancée par Jean-Louis Fousseret.
Parallèlement, le conseiller municipal UMP Michel Omouri réclame l'installation de caméras dans les "zones à risques" de la capitale comtoise, et notamment Planoise, Battant, et certains secteurs du centre ville. Il a rappelé que "Dans les villes ayant installé la vidéo protection, on note une baisse significative de la petite délinquance qui exaspère la population et les commerçants".
Il estime que la vidéo-surveillance est un "équipement de dissuasion et de protection des biens publics", et espère "trouver une solution pérenne et efficace pour les habitants des quartiers populaires comme pour ceux du centre ville qui sont favorables à ce système".
R. Hingray
Publié le vendredi 25 juin 2010 à 10h27